Invité par l’Orchestre Pasdeloup, l’Orchestre de Cannes sera à Paris samedi 20 février à 16h à la Philharmonie de Paris pour un programme qui s’annonce explosif.
Réunis sur scène, les deux orchestres joueront sous la direction de Wolfgang Doerner, directeur musical de la phalange cannoise et premier chef invité de la formation parisienne depuis 30 ans ! Ensemble, ils feront vibrer les parois de la Grande Salle de la Philharmonie avec Le Sacre du printemps de Stravinski, une œuvre qui possède une puissance et une tension sans pareil.
Invité par l’Orchestre Pasdeloup, l’Orchestre de Cannes sera à Paris samedi 20 février à 16h à la Philharmonie de Paris pour un programme qui s’annonce explosif.
Réunis sur scène, les deux orchestres joueront sous la direction de Wolfgang Doerner, directeur musical de la phalange cannoise et premier chef invité de la formation parisienne depuis 30 ans ! Ensemble, ils feront vibrer les parois de la Grande Salle de la Philharmonie avec Le Sacre du printemps de Stravinski, une œuvre qui possède une puissance et une tension sans pareil.
Portrait | Anaïs Normant, 2e flûte et piccolo solo
Le 14 décembre 2015, ce sont quelques 77 flûtistes qui se sont présentés au concours de deuxième flûte et piccolo solo, et c’est Anaïs Normant qui occupe ce poste depuis le 14 janvier dernier. On a pensé qu’il était temps de vous la présenter !
Originaire de Saint Brieuc, Anaïs est diplômée de la Haute Ecole de Musique de Lausanne en flûte et pédagogie, et du CNSM de Paris en piccolo. Après une saison au Royal Liverpool Philharmonic Orchestra ainsi qu’au Welsh National Opera, et plusieurs remplacements à l’Orchestre de Cannes (!) et à l’Orchestre de Chambre de Lausanne, elle pose ses valises à Cannes.
Un souvenir de votre concours d’entrée ? C’est le matin, il est 8h, j’entre dans la salle de chauffe et je découvre tous les autres candidats. On se serait cru dans La volière ! (référence au Carnaval des animaux de Saint-Saëns, ndlr) On se salue, je mets mes bouchons dans les oreilles et c’est parti pour la journée !
Votre premier souvenir de concert ? Un petit concert improvisé en famille et entre amis un soir d’été en plein air. On était déguisé, on avait trouvé des déguisements dans une malle. Je pense que j’avais 7 ou 8 ans. On chantait, on jouait de plusieurs instruments. C’était la magie d’un soir d’été.
Le mot qui définit le mieux votre instrument ? Pour le piccolo, c’est la vivacité !
Une œuvre préférée pour votre instrument ? Difficile de n'en retenir qu'une.... J'aime beaucoup la Partita pour flûte seule de Jean-Sébastien Bach. Mais je suis surtout curieuse de découvrir de nouvelles pièces... Le répertoire baroque renferme des perles, peu jouées, les Suites d'Antoine Dornel par exemple. Et puis des pièces très amusantes comme Zoom Tube de Ian Clarke.
Avec qui voudriez-vous prendre l’apéro ? L’apéro, ça s’improvise dans l’instant. Là, c’est plutôt l’heure du thé ! (il est 17h lorsque nous réalisons cette interview, ndlr.)
La musique qui vous fait du bien ? Le mouvement lent du Concerto en sol de Ravel. (Que l’Orchestre a donné le 24 janvier, ndlr)
Un plaisir musical coupable ? Pour moi il n’y a aucun honte : j’adore Jacques Brel et la chanson française en général.
Un mot pour notre public ? Venez nombreux et sans hésiter ! Parlez de l’Orchestre et n’ayez aucun a priori, quel que soit le programme !
12.02.16
Portrait | Anaïs Normant, 2e flûte et piccolo solo
Le 14 décembre 2015, ce sont quelques 77 flûtistes qui se sont présentés au concours de deuxième flûte et piccolo solo, et c’est Anaïs Normant qui occupe ce poste depuis le 14 janvier dernier. On a pensé qu’il était temps de vous la présenter !
Originaire de Saint Brieuc, Anaïs est diplômée de la Haute Ecole de Musique de Lausanne en flûte et pédagogie, et du CNSM de Paris en piccolo. Après une saison au Royal Liverpool Philharmonic Orchestra ainsi qu’au Welsh National Opera, et plusieurs remplacements à l’Orchestre de Cannes (!) et à l’Orchestre de Chambre de Lausanne, elle pose ses valises à Cannes.
Un souvenir de votre concours d’entrée ? C’est le matin, il est 8h, j’entre dans la salle de chauffe et je découvre tous les autres candidats. On se serait cru dans La volière ! (référence au Carnaval des animaux de Saint-Saëns, ndlr) On se salue, je mets mes bouchons dans les oreilles et c’est parti pour la journée !
Votre premier souvenir de concert ? Un petit concert improvisé en famille et entre amis un soir d’été en plein air. On était déguisé, on avait trouvé des déguisements dans une malle. Je pense que j’avais 7 ou 8 ans. On chantait, on jouait de plusieurs instruments. C’était la magie d’un soir d’été.
Le mot qui définit le mieux votre instrument ? Pour le piccolo, c’est la vivacité !
Une œuvre préférée pour votre instrument ? Difficile de n'en retenir qu'une.... J'aime beaucoup la Partita pour flûte seule de Jean-Sébastien Bach. Mais je suis surtout curieuse de découvrir de nouvelles pièces... Le répertoire baroque renferme des perles, peu jouées, les Suites d'Antoine Dornel par exemple. Et puis des pièces très amusantes comme Zoom Tube de Ian Clarke.
Avec qui voudriez-vous prendre l’apéro ? L’apéro, ça s’improvise dans l’instant. Là, c’est plutôt l’heure du thé ! (il est 17h lorsque nous réalisons cette interview, ndlr.)
La musique qui vous fait du bien ? Le mouvement lent du Concerto en sol de Ravel. (Que l’Orchestre a donné le 24 janvier, ndlr)
Un plaisir musical coupable ? Pour moi il n’y a aucun honte : j’adore Jacques Brel et la chanson française en général.
Un mot pour notre public ? Venez nombreux et sans hésiter ! Parlez de l’Orchestre et n’ayez aucun a priori, quel que soit le programme !
Le dernier enregistrement de la pianiste Khatia Buniatishvili, marraine de l’Orchestre de Cannes, est dans les bacs !
Paru chez Sony Classic le 8 février 2016, Kaleidoscope compile des chefs d’œuvre musicaux et de difficultés, qui lui permettent de confirmer à la fois son talent et sa virtuosité. On y retrouve avec plaisir les Tableaux d’une exposition de Moussorgsky, La Valse de Ravel et Petroushka de Stravinski. Ces œuvres ont en commun qu’elles possèdent toutes une version orchestrale ; la puissance et la sensibilité de cette pianiste lui permettent de peindre sa propre version de ces grandes pages musicales.
Le dernier enregistrement de la pianiste Khatia Buniatishvili, marraine de l’Orchestre de Cannes, est dans les bacs !
Paru chez Sony Classic le 8 février 2016, Kaleidoscope compile des chefs d’œuvre musicaux et de difficultés, qui lui permettent de confirmer à la fois son talent et sa virtuosité. On y retrouve avec plaisir les Tableaux d’une exposition de Moussorgsky, La Valse de Ravel et Petroushka de Stravinski. Ces œuvres ont en commun qu’elles possèdent toutes une version orchestrale ; la puissance et la sensibilité de cette pianiste lui permettent de peindre sa propre version de ces grandes pages musicales.
Concert gratuit des étudiants de la Master class de direction encadré par Wolfgang Doerner. A l'issue d'une semaine de travail avec l'Orchestre Régional de Cannes, quatre candidats ont été sélectionnés par les musiciens pour diriger ce concert.
Wolfgang Amadeus Mozart Don Juan, ouverture K 527 Argyrios ADAMOPOULOS, direction
Wolfgang Amadeus Mozart Symphonie n°36 en ut majeur “Linz”, K 425 Sergey NELLER, direction
Ludwig van Beethoven Coriolan, ouverture en ut mineur, op. 62 Andrea TUSACCIU, direction
Ludwig van Beethoven Symphonie n°2 en ré majeur, op. 36 Joshua GEDDES, direction
08.01.16
Hôtel Majestic – CANNES
Concert gratuit des étudiants de la Master class de direction encadré par Wolfgang Doerner. A l'issue d'une semaine de travail avec l'Orchestre Régional de Cannes, quatre candidats ont été sélectionnés par les musiciens pour diriger ce concert.
Wolfgang Amadeus Mozart Don Juan, ouverture K 527 Argyrios ADAMOPOULOS, direction
Wolfgang Amadeus Mozart Symphonie n°36 en ut majeur “Linz”, K 425 Sergey NELLER, direction
Ludwig van Beethoven Coriolan, ouverture en ut mineur, op. 62 Andrea TUSACCIU, direction
Ludwig van Beethoven Symphonie n°2 en ré majeur, op. 36 Joshua GEDDES, direction