Le 27 septembre 2019 s'est tenu le concours de deuxième clarinette devant jouer première, clarinette mi b solo. Après délibération du Jury, nous sommes heureux de vous annoncer la nomination de l'espagnol Emilio Alonso Espasandin !
BIENVENIDA EMILIO 👏🎉
30.09.19
Emilio Alonso Espasandin, deuxième clarinette
NOMINATION
Le 27 septembre 2019 s'est tenu le concours de deuxième clarinette devant jouer première, clarinette mi b solo. Après délibération du Jury, nous sommes heureux de vous annoncer la nomination de l'espagnol Emilio Alonso Espasandin !
Emily Imbert, promue au poste de cheffe d’attaque des seconds violons
NOMINATION
Le 25 et le 26 septembre 2019 s'est tenu le concours de chef d'attaque des seconds violons. Après délibération du Jury, nous sommes heureux de vous annoncer la promotion de notre violoniste australienne Emily Imbert au poste de cheffe d'attaque des seconds violons !
CONGRATS EMILY 👏🎉
26.09.19
Emily Imbert, promue au poste de cheffe d’attaque des seconds violons
NOMINATION
Le 25 et le 26 septembre 2019 s'est tenu le concours de chef d'attaque des seconds violons. Après délibération du Jury, nous sommes heureux de vous annoncer la promotion de notre violoniste australienne Emily Imbert au poste de cheffe d'attaque des seconds violons !
Benjamin Levy prolonge sa collaboration avec l’Orchestre de Cannes
Nommé Directeur musical et chef d'orchestre permanent de l'Orchestre de Cannes en novembre 2016, le chef d’orchestre Benjamin Levy prolonge sa collaboration avec la formation jusqu’en 2022.
L’Orchestre de Cannes est heureux d’annoncer le renouvellement du contrat de Benjamin Levy. Celui-là est prolongé jusqu’au 31 juillet 2022.
Sous la baguette et l'impulsion de Benjamin Levy, l’Orchestre de Cannes propose depuis deux saisons des collaborations inédites qui transcendent les genres artistiques, invite les jeunes talents d'aujourd'hui - comme la violoniste Alexandra Soumm, artiste associée de l'Orchestre depuis la saison 2018-2019, et se produit aussi bien à Cannes qu'à la Philharmonie de Paris, au Festival international de piano de La Roque d'Anthéron, Jazz à Juan ou encore aux Chorégies d'Orange pour "Musiques en fête".
Lors de sa saison 2019-2020, l'Orchestre de Cannes participera à la création musicale et chorégraphiques Ma mère l'Oye imaginée par Benjamin et Marion Levy, aux représentation lyriques de Falstaff à Anthéa et effectuera une tournée en Pologne dans le cadre du Festival Szymanowski.
27.06.19
Benjamin Levy prolonge sa collaboration avec l’Orchestre de Cannes
Nommé Directeur musical et chef d'orchestre permanent de l'Orchestre de Cannes en novembre 2016, le chef d’orchestre Benjamin Levy prolonge sa collaboration avec la formation jusqu’en 2022.
L’Orchestre de Cannes est heureux d’annoncer le renouvellement du contrat de Benjamin Levy. Celui-là est prolongé jusqu’au 31 juillet 2022.
Sous la baguette et l'impulsion de Benjamin Levy, l’Orchestre de Cannes propose depuis deux saisons des collaborations inédites qui transcendent les genres artistiques, invite les jeunes talents d'aujourd'hui - comme la violoniste Alexandra Soumm, artiste associée de l'Orchestre depuis la saison 2018-2019, et se produit aussi bien à Cannes qu'à la Philharmonie de Paris, au Festival international de piano de La Roque d'Anthéron, Jazz à Juan ou encore aux Chorégies d'Orange pour "Musiques en fête".
Lors de sa saison 2019-2020, l'Orchestre de Cannes participera à la création musicale et chorégraphiques Ma mère l'Oye imaginée par Benjamin et Marion Levy, aux représentation lyriques de Falstaff à Anthéa et effectuera une tournée en Pologne dans le cadre du Festival Szymanowski.
Le 11 décembre 2018, 22 violonistes se sont présentés au concours de violon du rang et c’est Mélanie Marillier, 25 ans, qui a remporté le concours. Elle a rejoint les rangs de l’Orchestre de Cannes au 1er janvier 2019, et on a pensé qu’il était temps de vous la présenter ! Originaire de Nice, Mélanie a passé son DEM au Conservatoire de Nice avant de partir étudier au Conservatoire Royal de Bruxelles où elle a obtenu un Master Didactique. Après s’être perfectionnée pendant un an à l’Université de Montréal, elle poursuit actuellement ses études de violon à l’Ecole Normale de Musique de Paris Alfred Cortot en classe de perfectionnement.
Un souvenir de votre concours d’entrée J’ai retrouvé deux amis de Montréal et une autre de Bruxelles, donc ça a rendu le concours plus agréable, bien que cela reste stressant. Donc après avoir pris des nouvelles pendant quelques minutes, on est chacun allé dans son coin pour nous concentrer.
Premier souvenir de concert Je devais avoir 3 ou 4 ans, c’était au cloître de Cimiez. J’étais dans l’orchestre de l’école dans laquelle j’ai débuté le violon, et tous les niveaux jouaient ensemble. Moi, je jouais des cordes à vide, mais j’avais l’impression de participer pleinement à l’interprétation de l’œuvre !
Motqui définit le mieux votre instrument Brillance.
Une œuvre préférée pour votre instrument Le Concerto pour violon de Beethoven. C’est une des œuvres qui me touchent le plus. C’est un concerto classique qui présente beaucoup d’interprétations possibles, donc toujours une découverte selon les interprètes.
Un disque qui a marqué votre enfance En fait, je n’écoutais pas tant de musique que ça. Je baignais dedans : mon père était contrebasse solo à l’Orchestre de Nice, alors il y avait toujours de la musique à la maison. J’assistais aussi à énormément de concerts. Mais dans la voiture, sur la route des vacances, on écoutait beaucoup Emilie Jolie pour le plus grand bonheur de nos parents !
Avec qui prendre l’apéro Leonidas Kavakos. Un violoniste que j’écoute beaucoup en ce moment. Simplement pour parler de musique, de style, d’interprétation.
La musique qui vous fait du bien La chanson française ! J’écoute beaucoup Cabrel, Brel, Gainsbourg, Bénabar et Sanseverino.
Plaisir musical coupable En réalité, je ne suis pas particulièrement fière d’écouter Bénabar ou Sanseverino !
Des passions en dehors de la musique Netflix ! Et aussi la lecture.
Une série Il y en a tellement ! Une des dernières qui m’a marqué c’est Au service de la France.
Un livre La saga des Malaussène de Daniel Pennac, et plus particulièrement La Fée carabine.
Un mot pour notre public Venez nous écouter ! Il y a une programmation très éclectique – du baroque, du classique, des choses plus modernes avec de la musique américaine – bref, il y en a pour tous les goûts et vous ne pourrez pas être déçu.e !
24.01.19
Bienvenue à Mélanie Marillier, violoniste !
[PORTRAIT]
Le 11 décembre 2018, 22 violonistes se sont présentés au concours de violon du rang et c’est Mélanie Marillier, 25 ans, qui a remporté le concours. Elle a rejoint les rangs de l’Orchestre de Cannes au 1er janvier 2019, et on a pensé qu’il était temps de vous la présenter ! Originaire de Nice, Mélanie a passé son DEM au Conservatoire de Nice avant de partir étudier au Conservatoire Royal de Bruxelles où elle a obtenu un Master Didactique. Après s’être perfectionnée pendant un an à l’Université de Montréal, elle poursuit actuellement ses études de violon à l’Ecole Normale de Musique de Paris Alfred Cortot en classe de perfectionnement.
Un souvenir de votre concours d’entrée J’ai retrouvé deux amis de Montréal et une autre de Bruxelles, donc ça a rendu le concours plus agréable, bien que cela reste stressant. Donc après avoir pris des nouvelles pendant quelques minutes, on est chacun allé dans son coin pour nous concentrer.
Premier souvenir de concert Je devais avoir 3 ou 4 ans, c’était au cloître de Cimiez. J’étais dans l’orchestre de l’école dans laquelle j’ai débuté le violon, et tous les niveaux jouaient ensemble. Moi, je jouais des cordes à vide, mais j’avais l’impression de participer pleinement à l’interprétation de l’œuvre !
Motqui définit le mieux votre instrument Brillance.
Une œuvre préférée pour votre instrument Le Concerto pour violon de Beethoven. C’est une des œuvres qui me touchent le plus. C’est un concerto classique qui présente beaucoup d’interprétations possibles, donc toujours une découverte selon les interprètes.
Un disque qui a marqué votre enfance En fait, je n’écoutais pas tant de musique que ça. Je baignais dedans : mon père était contrebasse solo à l’Orchestre de Nice, alors il y avait toujours de la musique à la maison. J’assistais aussi à énormément de concerts. Mais dans la voiture, sur la route des vacances, on écoutait beaucoup Emilie Jolie pour le plus grand bonheur de nos parents !
Avec qui prendre l’apéro Leonidas Kavakos. Un violoniste que j’écoute beaucoup en ce moment. Simplement pour parler de musique, de style, d’interprétation.
La musique qui vous fait du bien La chanson française ! J’écoute beaucoup Cabrel, Brel, Gainsbourg, Bénabar et Sanseverino.
Plaisir musical coupable En réalité, je ne suis pas particulièrement fière d’écouter Bénabar ou Sanseverino !
Des passions en dehors de la musique Netflix ! Et aussi la lecture.
Une série Il y en a tellement ! Une des dernières qui m’a marqué c’est Au service de la France.
Un livre La saga des Malaussène de Daniel Pennac, et plus particulièrement La Fée carabine.
Un mot pour notre public Venez nous écouter ! Il y a une programmation très éclectique – du baroque, du classique, des choses plus modernes avec de la musique américaine – bref, il y en a pour tous les goûts et vous ne pourrez pas être déçu.e !
COMPTE-RENDU DE CONCERT PAR GUILLAUME LIEBGOTT, JEUNE AMBASSADEUR
COMPTE-RENDU DE CONCERT « David Fray joue Schumann »
Le vendredi 16 novembre, je me suis rendu au théâtre Croisette pour assister au concert intitulé « David Fray joue Schumann », où ont joué l’Orchestre de Cannes et le pianiste David Fray.
Le programme de ce concert est très spécifique car il est uniquement composé d’œuvres romantiques allemandes :
-Der Freischütz-Ouverture de Carl Maria Von Weber
-Concerto pour piano et orchestre en la mineur, op.54 de Robert Schumann
-Symphonie n°3 en fa majeur, op.90 de Johannes Brahms
L’Ouverture de Von Weber commence. Les premières notes donnent tout d’abord une couleur mystérieuse, puis les cors débutent une mélodie calme. Le mouvement accélère, avec des nuances très différentes et des crescendos allongés.
Les fins de phrases se clôturent souvent par des silences. Certaines interventions sont surprenantes, notamment celle où l’orchestre explose en passant d’un silence à une nuance fortissimo. Ces effets de surprise sont caractéristiques du romantisme et rendent cette œuvre passionnante.
Cette Ouverture est impressionnante par ses passages très contrastés les uns des autres. Une pièce excitante où Von Weber nous dévoile tout son talent de compositeur romantique.
Suite à l’installation du piano sur la scène, le Concerto pour piano commence. Schumann est un de mes compositeurs préférés, sa musique est magnifique. On est tout de suite entraîné, emporté dans une atmosphère propre à lui.
La partie de piano est compliquée. Etant pianiste, j’ai trouvé la technique de David Fray remarquable. Son expression et sa vélocité sont impressionnantes.
Durant l’œuvre, on assiste à un dialogue entre le piano et l’orchestre. Le hautbois répond au piano, le thème du piano est repris par les violons puis tous les instruments chantent en chœur… Nous avons également droit à une cadence émouvante du piano dans le premier mouvement.
Le Concerto pour piano et orchestre de Schumann m’a vraiment plu. La musique bouge sans arrêt, il y a toujours un sursaut ou un rebondissement. On ne s’ennuie jamais et j’aime ce côté-là chez Robert Schumann.
Après l’entracte, l’Orchestre nous interprète la dernière pièce du concert, la Symphonie n°3 de Brahms. Un chef d’œuvre avec des mélodies envoutantes, notamment celle du troisième mouvement qui est de loin la plus célèbre. Cet air a d’ailleurs été repris par Serge Gainsbourg dans une de ses chansons, « Baby alone in Babylone ».
Certains mouvements sont intéressants au niveau rythmique. Parfois, les violoncelles et altos jouent en léger décalage, les voix se mélangent et nous font penser à une vague qui avance. Dans d’autres passages, l’orchestre ne se repose pas sur la pulsation ce qui semble perturbant. Cette étude du rythme par Brahms est admirable et donne encore plus de prestige à son œuvre.
Le mouvement que j’ai préféré dans cette symphonie est le dernier acte car le thème est intrigant. Les contrastes de nuances sont énormes et nous donnent des frissons quand l’orchestre tonne.
La symphonie n°3 de Brahms est merveilleuse, captivante. Je pense que certains airs vont rester longtemps dans ma tête et que je vais écouter plus de Brahms car cet artiste est vraiment talentueux.
Pour conclure, j’ai passé un excellent moment lors de ce concert. Le répertoire était bien choisi et accessible. Les interprètes ont fait vivre la musique de la meilleure des manières. J’ai apprécié la prestation de David Fray qui est un grand pianiste. Une agréable soirée musicale qui me laissera de bons souvenirs.
Guillaume Liebgott, 15 ans – Jeune Ambassadeur de l’Orchestre
19.11.18
COMPTE-RENDU DE CONCERT PAR GUILLAUME LIEBGOTT, JEUNE AMBASSADEUR
COMPTE-RENDU DE CONCERT « David Fray joue Schumann »
Le vendredi 16 novembre, je me suis rendu au théâtre Croisette pour assister au concert intitulé « David Fray joue Schumann », où ont joué l’Orchestre de Cannes et le pianiste David Fray.
Le programme de ce concert est très spécifique car il est uniquement composé d’œuvres romantiques allemandes :
-Der Freischütz-Ouverture de Carl Maria Von Weber
-Concerto pour piano et orchestre en la mineur, op.54 de Robert Schumann
-Symphonie n°3 en fa majeur, op.90 de Johannes Brahms
L’Ouverture de Von Weber commence. Les premières notes donnent tout d’abord une couleur mystérieuse, puis les cors débutent une mélodie calme. Le mouvement accélère, avec des nuances très différentes et des crescendos allongés.
Les fins de phrases se clôturent souvent par des silences. Certaines interventions sont surprenantes, notamment celle où l’orchestre explose en passant d’un silence à une nuance fortissimo. Ces effets de surprise sont caractéristiques du romantisme et rendent cette œuvre passionnante.
Cette Ouverture est impressionnante par ses passages très contrastés les uns des autres. Une pièce excitante où Von Weber nous dévoile tout son talent de compositeur romantique.
Suite à l’installation du piano sur la scène, le Concerto pour piano commence. Schumann est un de mes compositeurs préférés, sa musique est magnifique. On est tout de suite entraîné, emporté dans une atmosphère propre à lui.
La partie de piano est compliquée. Etant pianiste, j’ai trouvé la technique de David Fray remarquable. Son expression et sa vélocité sont impressionnantes.
Durant l’œuvre, on assiste à un dialogue entre le piano et l’orchestre. Le hautbois répond au piano, le thème du piano est repris par les violons puis tous les instruments chantent en chœur… Nous avons également droit à une cadence émouvante du piano dans le premier mouvement.
Le Concerto pour piano et orchestre de Schumann m’a vraiment plu. La musique bouge sans arrêt, il y a toujours un sursaut ou un rebondissement. On ne s’ennuie jamais et j’aime ce côté-là chez Robert Schumann.
Après l’entracte, l’Orchestre nous interprète la dernière pièce du concert, la Symphonie n°3 de Brahms. Un chef d’œuvre avec des mélodies envoutantes, notamment celle du troisième mouvement qui est de loin la plus célèbre. Cet air a d’ailleurs été repris par Serge Gainsbourg dans une de ses chansons, « Baby alone in Babylone ».
Certains mouvements sont intéressants au niveau rythmique. Parfois, les violoncelles et altos jouent en léger décalage, les voix se mélangent et nous font penser à une vague qui avance. Dans d’autres passages, l’orchestre ne se repose pas sur la pulsation ce qui semble perturbant. Cette étude du rythme par Brahms est admirable et donne encore plus de prestige à son œuvre.
Le mouvement que j’ai préféré dans cette symphonie est le dernier acte car le thème est intrigant. Les contrastes de nuances sont énormes et nous donnent des frissons quand l’orchestre tonne.
La symphonie n°3 de Brahms est merveilleuse, captivante. Je pense que certains airs vont rester longtemps dans ma tête et que je vais écouter plus de Brahms car cet artiste est vraiment talentueux.
Pour conclure, j’ai passé un excellent moment lors de ce concert. Le répertoire était bien choisi et accessible. Les interprètes ont fait vivre la musique de la meilleure des manières. J’ai apprécié la prestation de David Fray qui est un grand pianiste. Une agréable soirée musicale qui me laissera de bons souvenirs.
Guillaume Liebgott, 15 ans – Jeune Ambassadeur de l’Orchestre
Mercredi 1er août 2018, l'Orchestre de Cannes et Benjamin Levy clôturait la saison 2017-2018 au Festival International de Piano de La Roque d'Anthéron, aux côtés des pianistes Jonas Vitaud, Lidija et Sanja Bizjak, et de la violoniste Alexandra Soumm. Voici la critique de Thierry Hillériteau pour Le Figaro.
05.08.18
Champion du monde de clavier ! Le Figaro
Mercredi 1er août 2018, l'Orchestre de Cannes et Benjamin Levy clôturait la saison 2017-2018 au Festival International de Piano de La Roque d'Anthéron, aux côtés des pianistes Jonas Vitaud, Lidija et Sanja Bizjak, et de la violoniste Alexandra Soumm. Voici la critique de Thierry Hillériteau pour Le Figaro.
Mercredi 1er août 2018, l'Orchestre de Cannes et Benjamin Levy clôturait la saison 2017-2018 au Festival International de Piano de La Roque d'Anthéron, aux côtés des pianistes Jonas Vitaud, Lidija et Sanja Bizjak, et de la violoniste Alexandra Soumm. Voici la critique de Maryvonne Colombani pour Zibeline.
04.08.18
Le piano fait sa nuit à La Roque – Zibeline
Mercredi 1er août 2018, l'Orchestre de Cannes et Benjamin Levy clôturait la saison 2017-2018 au Festival International de Piano de La Roque d'Anthéron, aux côtés des pianistes Jonas Vitaud, Lidija et Sanja Bizjak, et de la violoniste Alexandra Soumm. Voici la critique de Maryvonne Colombani pour Zibeline.
Mercredi 1er août 2018, l'Orchestre de Cannes et Benjamin Levy clôturait la saison 2017-2018 au Festival International de Piano de La Roque d'Anthéron, aux côtés des pianistes Jonas Vitaud, Lidija et Sanja Bizjak, et de la violoniste Alexandra Soumm. Voici la critique de Jean-Rémi Barland pour le journal La Provence.
03.08.18
La critique de Jean-Rémi Barland pour La Provence
Mercredi 1er août 2018, l'Orchestre de Cannes et Benjamin Levy clôturait la saison 2017-2018 au Festival International de Piano de La Roque d'Anthéron, aux côtés des pianistes Jonas Vitaud, Lidija et Sanja Bizjak, et de la violoniste Alexandra Soumm. Voici la critique de Jean-Rémi Barland pour le journal La Provence.
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